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Pandora Altmann

Pandora Altmann

Âge : 27 ans
Statut social : Aisée

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MessageSujet: You gonna have a bad time ...    You gonna have a bad time ...  EmptyDim 24 Avr - 21:00



PANDORA ALTMANN



NOM ; Altmann
PRÉNOM ; Pandora
ÂGE ; 28 ans physiquement, 48 ans réellement.
SEXE ; Féminin
ORIENTATION SEXUELLE ; Hétérosexuelle
STATUT CIVIL ; Aisée et mariée
MÉTIER ; Reine du royaume de Valyria
GROUPE ; Raisers - péché de la gourmandise
ROYAUME ; Valyria
POUVOIR ; Pandora a la possibilité de manger tout et n'importe quoi. Ferraille, pierre, verre, bois. Rien ne résiste à ses dents et son estomac semble pouvoir digérer la totalité de ce qu'elle ingurgite.

PHYSIQUE + MENTAL


 

COULEUR DE PEAU ; Très pâle, presque blanche. Pandora ne sort que très peu de chez elle.
CHEVEUX ; Rose incarnadin, ils sont coupés au carré, légèrement ondulés et doux au toucher.
YEUX ; Rose pêche, légèrement en amandes
VISAGE ; Rond, aux pommettes encore légèrement visibles
NEZ ; Petit nez aquilin
OREILLES ; Petites oreilles rondes
PARTICULARITÉS ; Possède une chaîne en argent, apparemment hérité de sa défunte servante et une alliance provenant du Yarl Aslak Egilson.

TAILLE ; Un mètre soixante deux
SILHOUETTE / CORPULENCE ; Fine et féminine, elle possède des formes où il faut : son bonnet D ne semble pas la déranger plus que ça.
ALLURE ; Bien qu'elle ne le soit pas vraiment, on dit qu'elle a une allure fière et sûre d'elle.
DÉMARCHE ; Parfois, elle aborde une démarche lasse mais lorsqu'il s'agit d'accuellir des invités, elle sait se tenir droite et pleine de grâce.
POIDS ; cinquante deux kilogrammes
ÉTAT DE SANTÉ ; Pandora est assez faible, elle tombe souvent malade et préfère ne pas trop sortir de chez elle. Elle est allergique aux poils de chien.

STYLE VESTIMENTAIRE ; Porte en permanence de longues robes à corsets, digne de son statut de Reine. Elle a une légère préférence pour le blanc ou le noir.
ACCESSOIRES ; Elle aurait besoin de lunettes mais ne les portent jamais.
ÉQUIPEMENT ; aucun

On dit que tu es douce Pandora. Une adorable demoiselle au sourire d'ange. Cette mignonne personne aux intentions toujours bienveillantes. Pandora, tu sais tellement bien duper les gens. Tes yeux de chats, tes petites lèvres s'étirant en un sourire amusé et ta voix cristalline.

Beaucoup succombent. Sans savoir que derrière cet ange se cache une enfant.

Une mauvaise joueuse cherchant toujours à gagner, détestant perdre et se moquant souvent de tes connaissances, tout ça dans une gentillesse affligeante. Non Pandora, tu es incapable de faire du mal, toi qui rie la plupart du temps. Toi qui semble malgré tout bouder pour un rien. Faire des caprices pour obtenir ce que tu veux et grogner quand tu ne l'as pas.

Mais Pandora, tu caches bien ton jeu. Ton statut de Reine fait que tu ne peux jouer tout le temps, tu as juste la flemme de travailler, ennuyée à l'idée de montrer aux autres à quel point tu es rusée et sournoise. A quel point ce sourire d'ange peut se transformer en celui d'un diable malicieux.

Tu es égoïste et il ne faut pas l'oublier. Ton bonheur et celui de tes proches avant les autres. Le monde fonctionne ainsi et tu sembles l'avoir relativement bien compris. Les autres viendront vous manger petit à petit, vous grignoter les doigts puis la main entière et tu ne souhaites pas ça : non, tu vivras la vie que tu auras décidé sans l'avis ou les demandes de quinconce.

Ce n'est pas pour ça que tu te démènes, oui tu paresses beaucoup, souvent dans la lune et très tête en l'air ; mangeant parfois quelques biscuits pour caler ta faim passagère. Toi qui semble éternellement affamée, gourmande affligeante. Le nouveau cuisinier vient de disparaître ? Peut-être n'était-il pas assez doué ? Peut-être a-t-il lui même servit de repas ? Personne ne saurait vraiment.

Tu es indéchiffrable Pandora, toi, dépressive au regard vide lorsque la nuit tombe, toi, femme solitaire à l'époux bien lointain. Toi, femme de paradoxes. Tu ne veux plus souffrir des autres, ne plus te faire trahir ou perdre un être cher. Ce sont des choses beaucoup trop douloureuses et la solitude semble si … malsaine et inhumaine. « MANGE LES TOUS ! » que te répètes cette toi-même, cette femme croisant ton propre regard dans le miroir de ta chambre. « ILS NE SONT QUE SERVANTS ! DES BOUTS DE CHAIRS ! ». Ils ne sont rien d'autre que ceux te permettant de vivre cette vie aussi joyeuse que déployable.

Si un Dieu existe encore dans ce monde, qu'il te permettes de mourir sans emporter les tiens avec toi.
Qu'il te permettes de t'endormir.
Toi qui a déjà cherché à dévorer ton propre corps.

Es-tu donc possédée ? Inhumaine démone hurlant et menaçant la moindre personne s'approchant parfois trop prêt de son cercle vital. Toi fuyant les autres pour les et te protéger.

« Cette femme à l'intérieur de moi aura raison de mon existence. »

Et c'est en serrant Jones, ton fidèle partenaire, ton chat roux de huit ans, Adrian a tes côtés, que tu lâches parfois cette phrase. « Ce n'est pas moi, c'est une autre personne, venant d'un autre monde, d'un monde lointain et cherchant à prendre ma place. »

Es-tu schizophrène ? Peut-être. Mais qu'est-ce cette maladie ? Tu ne sais pas toi-même. Douce fleur, innocente fleur blanche pourtant éclaboussée de rouge il y a bien des années. « C'est cette femme qui m'as forcé à dévorer ceux que j'aime ... »

Conchita. Oui tu lui a même donné un nom, une conscience et elle t'observe chaque jour un peu plus. Et tu as peur, peur d'elle. Terrorisée même. Va-t-elle te prendre Aslak ? Va-t-elle chercher à le dévorer lui aussi ?

Il en était hors de question, toi, Pandora, tu ne l'accepterais pas. Jalouse et possessive, paranoïaque préférant enfermer ceux faisant battre ton cœur pour les garder prêt de toi, pour les protéger de ce monde ignoble et malsain. Toi, folle incontrôlable, folle attentionnée, amoureuse diabolique.

Le monde n'était qu'un vulgaire repas et chaque être finira tôt ou tard dans ton estomac.

Toi qui aimerais faire le tour du monde pour fuir ce lieu maudit ...



HISTOIRE

Plic plac ploc.
Aujourd'hui, il pleut à torrent.

Plic plac ploc.
Chaque gouttelette vient s'écraser sur cette vitrine.

Plic plac ploc.
Tu tiens Jones dans tes bras. Frissonnant.

Plic plac ploc.
Aujourd'hui, il pleut encore. Comme il y a quarante-huit ans.

Pourtant tu fermas doucement les paupières, soupirant en serrant encore plus fort le matou contre toi. Par où devais-tu commencer et surtout par quoi ? Par le tout début ? Devais-tu te faire souffrir ? Te remémorer toute cette misérable vie ? Es-ce réellement nécessaire ?

Cette pluie ramena un sentiment de nostalgie avec elle, toi qui a vu le jour lors d'un temps pareil, enfant non désirée. Genre d'erreur que tes parents ne voulaient pas forcément. Ils avaient déjà deux fils et une magnifique fille alors pourquoi en avoir une autre ? Ce n'était pas nécessaire.

Mais que pouvaient-ils faire de plus ? Te jeter dehors ? Te trancher la gorge ? T'abandonner ? C'est un peu ce qu'ils firent après tout. C'est une servante qui t'éleva, cette domestique d'une vingtaine d'années qui ne savait presque pas s'y faire avec les enfants.

Mais heureusement pour elle, tu n'étais pas une petite turbulente. Moins que d'autres en tout cas, traînant simplement toujours dans ses pattes, comme par peur de ne plus la revoir. Peut-être avais-tu prévu le futur ? Parfois tu te poses encore la question, toujours touchée et anéantie.

Elle était ta mère, ta bonne étoile. Ta raison de sourire, t'étudier et de faire bonne figure devant cette Reine étant ta mère. Tes frères et sœurs ? Ils riaient de toi : toi qui n'avais rien d'une princesse, toi, la petite chiffonnière qui n'avait de beau que l'apparence.

Ne rien dire, s'incliner, remercier de leur bonne augure et pleurer derrière la porte. Pourquoi avais-tu besoin de leur regard pour te sentir bien ? A l'heure d'aujourd'hui, tu aurais tout ignoré mais lorsqu'on est une petite file de cinq ans, le regard des gens était bien plus important.

Les compliments, aussi infimes puis-t-ils être assez une telle signification. Toi qui faisais tout ton possible pour t'en sortir, prouver à ta domestique que tu valais autant que tes sœurs, pour ne plus être éloignée de la table lors des repas importants, pour ne plus avoir à te priver de quoique ce soit.

Et comme s'il avait entendu tes prières, c'est toi que l'arbre d'Held avait choisi. Cette petite ignorante, cette enfant malade et faiblarde. Il te voulais toi et non une autre. Ni ta sœur, ni l'un de tes frères et encore moins ta mère. Tu étais l'élue.

Bizarrement, tes parents te virent d'une autre manière, cherchant à se rattraper, à remonter dans ton estime. Toi, leur enfant indigne. Cette petite « servante » ne faisant pas bonne impression. Au début, tu le pris relativement bien, acceptant leur excuses : tu ne voulais qu'être la bonne petite fille, la belle enfant ayant une potentielle chance de reprendre la couronne et d'être aimée de tous.

Et c'est à cette époque que tu rencontras Aslak, cet adorable garçon d'un an ton aîné. Si tu en es tombée amoureuse ? Bien évidement. Il était le plus gentil et le plus beau de tous. Ce voyage te semblas aussi long que court en sa compagnie, toi qui n'avais jamais bougé du royaume.
Tout se semblait étrange, tout se faisait peur. Tu ne connaissais rien de ce monde, de cette nature. Et au fond, tu regrettas vite.

Pourquoi ? Pourquoi Held était-il dans cet état ? Vous étiez sept autour de cet arbre.
Un superbe duc à la chevelure rose.
Deux jumelles ne se ressemblant pas du tout.
Une prêtresse aux cheveux verts.
Un soldat à l'allure fière.
Une femme enceinte.

Et vous deux, petits enfants que vous étiez, tous rassemblés auprès de cette entité divine ayant perdu ses couleurs, une demoiselle poignardée en son sein.  Aslak était parti vomir, d'autres pleurèrent et pourtant toi, tu ne dis rien … Figée, incapable de comprendre.

Avoir fait tout ce chemin pour ça ? Finalement, n'était-ce pas une manigance de ta famille ? Pour que tu te fasses tuer ? Pour se débarrasser définitivement de toi ? Toutes ces questions incompréhensibles pour une enfant d'à peine huit ans firent de toi un être silencieux lors du retour.

Tu promis à Aslak de le revoir, l'embrassa sur la joue avant de le laisser partir. Oui, bientôt tu feras en sorte de le revoir.

Bien évidement, la mort d'Held se fit rapidement connaître à travers Westeros et ta famille ne t'adressa pas la parole à ton retour. Non ce n'était pas de ta faute s'il était mort mais peut-être avaient-ils présentis ce qui allait suivre ?

Aussitôt, tu cherchas Marylène, ta mère adoptive, ta domestique qui n'avait pu t'accompagner, faute d'autorisation mais tu ne tombas que sur une chambre vide, ses biens, ses affaires, ses vêtements : tout avait disparu.

« Elle a démissionné. Elle a dû partir ailleurs avec sa famille. » 

Ah ah, cette phrase te hantes encore maintenant, quel horrible mensonge n'est-ce-pas ? Marylène n'était pas partie, elle ne s'était pas aller ailleurs. Elle était morte, tout simplement. On t'avoua avoir entendu des cris venant de la chambre de ta mère, des années plus tard.

Oui, elle aurait été capable de la battre à mort pour une simple bêtise. « Vous savez votre majesté, Dame Marylène n'était pas bien ce soir là, elle avait perdu sa mère d'une maladie et elle a enchaîné les bourdes. »

Huit ans passèrent sans encombres, ignorant ta famille, restant dans ton coin, telle la maudite que tu étais. Quelque chose avait changé chez toi mais tu ne savais quoi : tu ne pouvais le comprendre mais s'en était troublant.

Mais c'est aussi à cette époque qu'on te jetas ce nouveau servant, tu en avais seize, il en avait sept. Un petit roux borgne n'ayant jamais connu sa mère. Il était toi, cette personne abandonnée et délaissée. Cet être ignoré et jeté dans la gueule du loup.

Oui, pour lui, pour Adrian et pour toi, tu comptais bien changer ce monde.

Ce monde se noircissant comme la peste.

Plic plac ploc.
C'est le bruit des gouttelettes de sang tachant le sol.

Plic plac ploc.
Des gouttelettes formant une tâche rouge.

Oui, tu bousculas le palais.
Non, tu ne pouvais plus supporter.

Et te voilà, toi, petite fille devenue grande du haut de tes vingt-cinq ans.

« Bonjour Père, Bonsoir Mère. Excusez mon intrusion dans votre chambre. »

T'incliner doucement, comme on t'avais appris.
Leur sourire tendrement.
Puis mettre fin à leur pitoyable existence.

Plic plac ploc.
Tu avais détruis ta famille.

Plic plac ploc.
Tu avais cinq cadavres sur les bras.

Plic plac ploc.
Tu éclatas en sanglots, les nerfs craquant.

Mais pourtant, tu ne pouvais effacer ce sourire vicieux sur ton visage.
Tu l'avais sentis, cette présence.
Et maintenant, tu mourrais de faim.

« Adrian, retournes dans ta chambre. Je te rejoins dans cinq minutes. »

Pauvre enfant de dix-sept ans. Avait-il compris ? Tu ne voulais même pas le savoir.

La famille Altmann fut anéantie du jour au lendemain, seule restée cette Pandora, inconnue de tous mais possédant le même sang que ses frères et sœurs. On raconta qu'une maladie les avaient tous emportés.

Ton avis ? Personne ne le su. Les traces ? Ils ne furent que deux à les connaître.
Adrian, ton fidèle chambellan et Undine, cette militaire t'ayant loué allégeance quelques années plus tard.

Peut-être que certains l'ont devinés, effectivement. Te voir dévorer plats sur plats, te voir croquer dans ces couverts sans sursauter, simplement soupirer pour en demander de nouveaux.

Non Pandora, tu n'étais plus normale.
Tu n'étais plus humaine.

Adrian grandissait tandis que tu ne bougeais pas à un tel point qu'il finit par devenir plus vieux physiquement que ta personne. Toi qui avais toujours été là pour lui. Toi qui t'étais attachée à lui comme un frère.

Après avoir repris le royaume d'une main de fer, tu officialisas ton mariage avec Aslak. Tu venais tout juste d'avoir trente et un an et ce fut vraisemblablement le plus beau jour de ta vie. « Adrian, je suis désolée. Je sais que tu ne l'aimes pas, mais il a volé mon coeur. Je ne peux vivre sans y penser. »

Un sourire légèrement triste pourtant accompagné d'un petit rire. Tu ne voulais pas le perdre, ni lui ni Aslak. Mais grâce à cela, les relations entre vos deux royaumes en firent deux alliés de taille, échangeant un bout de terre. Ta famille était-elle fière de toi ? Elle était encore si prêt de toi … Tellement prêt …

Les années passaient mais tu ne changeais pas, gardant toujours cette vingtaine physique au moment où tu récupéras Jones, ce petit chaton roux qu'à peine trois mois. Ton petit trésor, ton amour, ton bébé et aujourd'hui, tu entretiens une relation presque fusionnelle avec lui.

Tu le serras d'ailleurs dans tes bras lorsqu'on coup de tonnerre se fit entendre, te faisant sursauter.

Il avait huit ans maintenant, tu en avais quarante huit.
Mais visiblement, Dieu ne souhaitait pas te laisser vieillir et partir de ce monde …
Pas encore ...
 
 
ET TOI DERRIÈRE L'ECRAN ?


PSEUDO : CHOCOLATINE
ÂGE : 19 ans
UN BATON OU DES BOOBS ? des gros boobs
COMMENT AS-TU TROUVER UD ? : J'en suis la fonda mes loulous !
PRÉSENCE : Au moins tous les jours !
TON AVATAR C'EST : Yuyuko Saigyouji de Touhou Project
AUTRE CHOSE : Lama
 
 

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