– en cours

COULEUR DE PEAU ; blanche.
CHEVEUX ; noirs, bien coupés et doux.
YEUX ; ronds et mordants, désagréables. L'un marron tendre et l'autre rouge criard.
VISAGE ; effilé.
NEZ ; légèrement en trompette, avec cet air de quête perpétuelle.
OREILLES ; mignonnes comme celles des enfants.
PARTICULARITÉS ; il a des tâches de rousseurs brunes sur les pommettes.

TAILLE ; 1m85, raisonnable pour un homme, il semble quand même bien petit à côté de sa majesté.
SILHOUETTE / CORPULENCE ; ses épaules le sauvent : larges, elles font illusion et cachent la minceur de ses bras, le frêle de ses jambes et la finesse de sa taille. Mais elles sont quand même et étrangement étroites, ses épaules. Isaac sans le vouloir les a formé comme ça : il a toujours eu tendance à un peu se recroqueviller sur lui-même, son corps obéissant inconsciemment à son esprit introspectif. Depuis, c'est comme si elles voulaient toujours se refermer sur lui-même. De fait, il ne donne jamais l'impression de se tenir droit.
ALLURE ; il glisse, comme de l'eau. Il ne marche pas, il se faufile. Parfois même se défile. Il passe comme une ombre, ne s'arrête pas – jamais ! – si ça n'a pas un rapport de près ou de loin au roi.
DÉMARCHE ; autoritaire et sûr : son pas claque sur le pavé. Il n'est pas apparu que déjà on entend le talon dans le couloir, rapide et qui semble comme nous dire « prends garde ».
POIDS ; plume.
ÉTAT DE SANTÉ ; assez fragile tout de même. Il n'a pas un très bon système immunitaire et doit faire très attention.

STYLE VESTIMENTAIRE ; apprêté, raffiné, quoiqu'il arrive, même si cela doit attirer les ouï-dires. Le sans-pli exact de sa tunique, l'élégance des broderies, ça ne laisse rien passer : c'est comme une armure qui pare, non pas les fers, mais les lames du jugement. Et il fait bien toujours attention à garder un ensemble qui pousse à la discrétion (souvent dans des tons sombres) qu'exige son rang.
ACCESSOIRES ; peu de bijoux. Il s’accommode en fonction du roi. Ce n'est pas que ça lui importe, enfin. Il a des idées sur les étoffes et les bijoux. Il ne doit pas faire plus que le roi. Il porte alors, souvent, des bagues très discrètes. Ça ne consiste parfois qu'à un simple anneau, très mince. Les jours de grands fastes, il se permet le luxe de l'écharpe soyeuse, nouée d'une façon que seuls les nobles savent – et sont en droit de – faire, avec une broche chic pour la tenir bien contre le cou.
ÉQUIPEMENT ; les armes quand elles ne sont pas les mots, ce n'est pas son fort. Il a essayé d'apprendre quand il était enfant, auprès du roi, surtout comme soutien, parfois comme adversaire – il se gardait bien de gagner dans ces cas-là –, mais ça n'est jamais vraiment rentré. Les épées seules sont trop lourdes pour lui, alors tout de suite les lances, haches et glaives sont à bannir pour lui. Il a dû se plier aux armes fines. Il sait encore plus ou moins bien manier les coutelas. Quand il était plus jeune, c'était au tir à l'arc où véritablement, on pouvait lui trouver un petit talent. Mais son accident à l’œil a avorté ces débuts de progrès. Il connaît le nécessaire, pour aider le roi, si jamais, mais ça s'arrête là.

Dumque ibi diu moratur commeatus opperiens, quorum translationem ex Aquitania verni imbres solito crebriores prohibebant auctique torrentes, Herculanus advenit protector domesticus, Hermogenis ex magistro equitum filius, apud Constantinopolim, ut supra rettulimus, populari quondam turbela discerpti. quo verissime referente quae Gallus egerat, damnis super praeteritis maerens et futurorum timore suspensus angorem animi quam diu potuit emendabat.